Dimanche dernier, nous fêtions la fête des mères…
Un immense merci à nos fils qui nous ont fait le plus beau des cadeaux mercredi : nous avons vibré. Nos cœurs se sont emballés, puis serrés et parfois arrêtés de battre ! Et les larmes nous sont montées aux yeux quand nous les avons vus si grands à Nanterre, tellement fières de leur esprit d’équipe et de leur combativité, malgré les agressions verbales de leurs rivaux du Stade Français. Ce fut une saison passionnante que nous avons partagée avec un enthousiasme grandissant au fil des matchs gagnés.
Merci du fond du cœur à David pour les avoir guidés jusqu’à la victoire et nous avoir permis de vivre ce moment si fort en émotions. Nul doute qu’au-delà du titre, cette aventure restera une leçon de vie qui les marquera.
Dimanche prochain, ce sera la fête des pères…
Merci à eux tous de les avoir soutenus, motivés et accompagnés semaine après semaine.
Mention spéciale à :
- Gilles (au centre), notre reporter préféré, qui a promené sa silhouette pleine de flegme et décontractée autour des terrains, appareil photo en main, dont le sourire discret ou le rictus crispé en disait long sur les performances de nos fils, pour ses comptes rendus hebdomadaires sur le site du CCB.
- Vassilis (à droite), sa gentillesse et son accent plein de soleil, pour ses vidéos.
- Pierre Pétar (à gauche), qui a joué lui aussi le cameraman dévoué sans être papa.
L’année s’achève et nul doute que nous nous en souviendrons longtemps grâce à vous tous.
Les mamans des Minimes 1
PS : à titre perso, je dois avouer que ces dernières années, le basket m’a beaucoup faite râler à cause des week-ends où l’on ne peut plus partir et des vacances écourtées par des tournois divers et variés. Le sport, ce n’est pas mon truc et mea culpa, je ne connais toujours pas les règles du jeu et ne m’y retrouve pas dans la logique des championnats. Je ne suis pas certaine que ça puisse s’arranger !
L’an prochain, Antoine quitte le club pour rejoindre le Paris-Levallois et jouer en Minimes France. Merci à Didier, dont Antoine dit qu’il est le premier à avoir cru en lui, à François et à David. En février, un coup de fil lui a appris qu’il avait suffisamment progressé pour espérer jouer à un niveau plus élevé : juste après, des étoiles plein les yeux, c’est à eux qu’il a pensé. Antoine a reçu au CCB une vraie leçon de vie qu’il gardera, j’y veillerai. Merci à Rico pour ses conseils et sa disponibilité lorsque je me suis retrouvée un peu dépassée par les événements et stressée. Antoine et moi avons déjà la nostalgie de ces années passées dans les gymnases de Chatou ou Croissy, où nous étions simplement contents lorsqu’il mettait son ballon dans le panier. Le dimanche, avec les Minimes France, l’ambiance des gradins sera certainement moins conviviale… Heureusement, il me reste Charlotte et Eugénie pour continuer à fréquenter les gymnases le samedi. Le basket va encore me faire copieusement râler dans les années qui viennent… mais promis, désormais, je râlerai le dimanche et plus le samedi à Chatou ou Croissy !
Hélène